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PÔLE PSYCHIATRIQUE


Le Pôle de Psychiatrie s’implante à la lisière du bois et de la plaine, profitant du contour en creux formé par les terrasses des collines. Son architecture accompagne les mouvements du relief et les rives du Cadéreau.
L’organisation du site et des fonctions s’inscrivent dans une bipolarisation du terrain : les fonctions communes dites partagées et publiques s’orientent du côté de la ville, tandis que les fonctions privatives et les unités de soins s’orientent vers la colline boisée.
Le Pôle de Psychiatrie est confortablement posé sur son socle, les unités de soins sont alors disposées par-dessus, surplombant au nord le terrain pour se nicher dans les terrasses et la pinède au Sud.
Les espaces extérieurs propres à chaque unité, et de plain-pied, s’implantent alors naturellement dans les plis du terrain, et s’adaptent alors aux contraintes de protection et de surveillance propres à chacune et ménage des vues agréables.
La volumétrie est au diapason du terrain. Elle joue de sa déclivité, en sculpte les contours pour dessiner des jardins clos, se morcelle pour répondre à l’échelle du bâti environnant et souligne la pente par de fines restanques.
La symbolique spatiale de la proposition architecturale s’approche de la gestuelle de la main: la paume se retrouve dans les espaces centraux, porteurs de toute l’énergie du bâtiment et des fonctions essentielles : l’accueil, le guidage, l’invitation à la rencontre.